Japanimation - Capitaine Flam
Au fin fond de l'univers, à des années et des années lumière de la Terre, veille celui que le gouvernement intersidéral appelle, quand il n'est plus capable de trouver une solution à ses problèmes, quand il ne reste plus aucun espoir: le capitaine Flam.
Après avoir parlé dans mon dernier post du héros intergalactique Earl Dumarest (oui mais il est toujours à la recherche de la Terre)(c'est ballot d'avoir perdu son chemin)(quand même), je vais vous parler du héros de mon enfance dont j'ai revu - pendant mes vacances - les K7 vidéos (les plus jeunes ne sauront pas ce que c'est)(tant pis pour eux), le Capitaine Future Flam (sniff)(petite larme à l'oeil).
Ce héros fringuant, solitaire (oui avec pour pote un cerveau volant, un robot type boite de conserve et un androïde multiforme, cela n'aide pas pour les rencontres) et macho (mention special Cachou), sauve à chaque voyage (regroupement de 4 épisodes de 25 minutes environ) au choix la Terre, la galaxie, une race extra-terrestre, la peau de sa nouvelle petite amie Johanne.
Tout cela fleure bon le space opéra des familles, avec un style old school, une musique entêtante chaque fois que le héros ou un de ses acolytes apparait ou entame un fait d'armes (au bout de 20 minutes ça lasse, voire ça gâve grâve).
Un petit listing des aventures de notre héros :
Pour le détail voir ici. Personnellement, j'ai bien aimé les voyages 1,2, 11, 12 et 13 et j'ai trouvé assez fade les voyages 8, 9 et 10 (en fait on s'en fiche pas mal).
Mais surtout je reconnais que la musique - sorte de jingle - m'a fait ch**r, que j'ai hurlé de rire aux piques machos du capitaine avec sa petite amie Johanne (il faut toujours que vous ne m'écoutiez pas)(sous entendu il faut que je vienne vous sauver; vous feriez mieux de rester à la maison) que les technologies sont toutes trop datées et que le scientisme est beaucoup trop présent. Et puis les gentils sont "trop gentils" (moi j'appelle ça trop con) et les méchants soit restent "très méchants" ou redeviennent gentils (manichéisme quand tu nous tiens).
Bref, c'est rigolo à revoir avec énormement de recul.
Note : 2/5
NicK.